Rien ne va plus chez les Rangers de New York. À peine un an après avoir été considérés comme l’une des meilleures équipes de la LNH, les Blueshirts traversent une période de turbulences majeures.
Après avoir raté les séries éliminatoires au printemps dernier, le club new-yorkais connaît un début de saison 2025-2026 décevant, et le directeur général Chris Drury pourrait être contraint de prendre des décisions drastiques.
Au cœur des discussions : le futur d’Artemi Panarin. L’attaquant vedette russe, qui deviendra joueur autonome sans compensation le 1er juillet 2026, est au centre de nombreuses rumeurs.
Selon plusieurs sources, les négociations de prolongation de contrat entre Panarin et les Rangers seraient au point mort. Si la situation ne s’améliore pas rapidement, il ne serait pas surprenant de voir Drury tester la valeur de son ailier sur le marché des échanges.
Le journaliste de TSN, Frank Seravalli, a d’ailleurs ouvertement évoqué cette possibilité. Selon lui, si les Rangers continuent de piétiner, leur directeur général n’hésitera pas à bouger.
« Est-ce que je crois que Chris Drury va avoir peur d’échanger Artemi Panarin à la date limite si l’équipe s’en va nulle part? Non, je ne crois pas », a déclaré Seravalli.
Montréal doit saisir l’occasion
Pour le Canadien de Montréal, l’occasion serait trop belle. Même s’il s’agit d’un dossier complexe en raison du contrat de Panarin, le Tricolore pourrait profiter du désarroi des Rangers pour tenter un coup d’éclat. Un joueur du calibre de Panarin transformerait immédiatement l’attaque montréalaise, surtout si le CH continue de se battre pour une place en séries.
Avec un rendement offensif toujours élite et un leadership exemplaire, Panarin pourrait devenir la pièce manquante du casse-tête offensif de Martin St-Louis.