C’est la fin pour Mitch Marner avec les Maple Leafs de Toronto

Il y a des talents rares dans la LNH, et Mitch Marner en fait indéniablement partie.

Un joueur de plus de 100 points qui pourrait devenir libre comme l’air dès le 1er juillet, c’est loin d’être monnaie courante.

Pourtant, c’est ce que rapportent les rumeurs les plus persistantes, qui envoient clairement le message : Marner et les Maple Leafs, c’est fini.

Pendant plusieurs saisons, Marner a été un pilier offensif à Toronto.

Malgré sa production impressionnante, une partie des partisans ne lui a jamais pleinement reconnu sa valeur.

L’attente est toujours immense dans le marché torontois, et quand les séries ne tournent pas à l’avantage des Leafs, certains cherchent des boucs émissaires.

Marner, souvent, en a fait les frais.

Originaire de la région torontoise, l’attachement à son équipe locale aurait pu jouer en faveur d’une prolongation de contrat.

Mais selon Pierre LeBrun de TSN, ce scénario semble désormais écarté.

Lors d’un passage à TSN 1050, LeBrun a affirmé avec assurance que Marner testera le marché des joueurs autonomes cet été.

Une déclaration qui pèse lourd, venant d’un expert aussi respecté.

Les statistiques de Marner parlent d’elles-mêmes : 741 points en 657 matchs.

Sa constance, même sans la présence de Matthews ou Tavares à ses côtés, démontre qu’il n’est pas simplement un produit de son environnement, mais un moteur en soi.

Plusieurs formations seront prêtes à lui offrir un contrat substantiel, et ce, probablement sur sept ans.

Une chose semble claire : il vivra ses prochaines saisons ailleurs qu’à Toronto.

Montréal ? Peu probable, si vous voulez mon avis. Kent Hughes ne payera pas 14 millions de dollars pour lui.

Direction Pittsburgh pour Mitch Marner?

Si j’avais un deux piasses en papier à mettre, je crois que Mitch Marner va se retrouver avec Sidney Crosby à Pittsburgh. Tiens donc, c’est Kyle Dubas, l’ancien DG des Leafs, à la tête de l’équipe.

Bref, Marner pourrait bien redevenir ce joueur électrisant, mais cette fois-ci, sans l’ombre pesante des attentes torontoises.