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Jeff Gorton pourrait rapatrier Artemi Panarin
Crédit NHL.com

L’avenir s’éclaircit pour le Canadien de Montréal, qui entre dans une phase cruciale de sa reconstruction.

En 2025, la hausse du plafond salarial dans la LNH, combinée à la fin des contrats peu rentables de Joel Armia et Christian Dvorak, permet enfin au club de respirer financièrement.

Ensemble, ces deux ententes représentaient environ 8 millions $ annuellement.

Ce dégagement budgétaire a ouvert la voie à l’ajout d’un défenseur vedette, engagé pour 9,5 millions $.

Même si le remplacement de Dvorak au centre reste à faire, cette transition représente un changement de cap majeur dans la gestion du personnel. Plusieurs amateurs s’attendaient à plus de mouvements cet été, mais hormis la signature de Samuel Blais, qui pourrait occuper un rôle de soutien, Kent Hughes est resté plutôt discret.

Cela pourrait toutefois n’être qu’un calme avant la tempête. Le 1er juillet 2026 s’annonce comme un moment charnière. Le contrat de Carey Price arrivera à échéance, ce qui libérera 10,5 millions $ supplémentaires.

Avec l’augmentation projetée du plafond salarial et les contrats de jeunes joueurs bien structurés, le Canadien pourrait enfin viser une acquisition majeure via le marché des joueurs autonomes.

Les agents libres de 2026 sont incroyables

La cuvée 2026 des agents libres s’annonce exceptionnelle, avec la possible disponibilité de supervedettes comme Connor McDavid, Jack Eichel, Kirill Kaprizov, Artemi Panarin et Mitch Marner.

Même si plusieurs de ces joueurs pourraient signer une prolongation avec leur club actuel, les surprises ne sont jamais à exclure dans la LNH.

Si Jeff Gorton parvenait à convaincre une étoile comme Panarin de s’installer à Montréal, ce serait un signal clair que le CH veut redevenir une puissance.

À 34 ans, Panarin produit toujours à un rythme élite. Le Canadien pourrait frapper un coup d’éclat et relancer son image dans toute la ligue.

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