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Le verdict est tombé pour Cole Caufield
Crédit NHL.com

La récente défaite du Canadien de Montréal à Edmonton a laissé des traces, surtout pour Cole Caufield. L’attaquant avait pourtant livré un match impressionnant, inscrivant deux buts, mais l’équipe n’a récolté aucun point malgré sa domination sur la glace.

Les décisions arbitrales, jugées douteuses par plusieurs, ont intensifié la tension lors des dernières minutes de la rencontre.

Dans le vestiaire, l’ambiance était glaciale; plusieurs joueurs ont exprimé leur frustration, certains commentaires dépassant même ce qui est habituellement toléré.

Le verdict tombe : aucune sanction pour Caufield

Cole Caufield a commenté le match en déclarant que « les arbitres ont pris le contrôle du match. Chapeau à eux pour leur victoire. »

Dans un contexte normal, ce type de propos attire souvent l’attention de Gary Bettman et peut mener à des amendes sévères.

Le commissaire de la LNH ne tolère généralement pas les critiques ouvertes envers les officiels. Cependant, dans ce cas précis, Caufield n’a reçu aucune sanction, tout comme Martin St-Louis et Brendan Gallagher.

Cette absence de sanction témoigne de l’ampleur des erreurs arbitrales qui ont marqué cette rencontre. Certains observateurs ont même ironisé :

« Pas d’amendes pour les Canadiens hier soir ? C’est presque comme s’ils avaient eu raison… »

Il existe cependant une nuance dans les propos de Caufield. Certains y voient une critique directe envers les arbitres, tandis qu’une autre interprétation suggère qu’il félicitait plutôt les Oilers pour leur performance. En séparant les deux phrases, il devient possible de comprendre que l’attaquant reconnaissait la victoire de Connor McDavid et de sa troupe, et non celle des arbitres. Cette lecture atténue considérablement le caractère polémique de sa déclaration et explique pourquoi la LNH a choisi de ne pas intervenir.

Dans tous les cas, cette situation met en lumière la fine ligne entre frustration légitime et critique sanctionnable dans le hockey professionnel, et rappelle que même les meilleurs joueurs peuvent se retrouver au centre de débats médiatiques.

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