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Voici les joueurs qui intéressent le Canadien sur le marché des agents libres
Crédit NHL.com

Le Canadien de Montréal retrouve enfin une marge de manœuvre pour s’activer sur le marché des agents libres, une occasion rare depuis plusieurs années.

À la veille du repêchage, Kent Hughes a déjà fait un coup important en ajoutant Noah Dobson à sa défensive, un droitier solide qui vient renforcer une équipe en quête d’amélioration.

Toutefois, le défi majeur demeure au centre.

Le directeur général a clairement indiqué que le Tricolore vise à renforcer cette position clé, soit par une transaction ou en ciblant un joueur autonome. Malgré les progrès de Kirby Dach, récemment opéré au genou, il est acquis qu’il ne sera pas le partenaire idéal d’Ivan Demidov à court terme.

Hughes pourrait privilégier un centre gaucher pour équilibrer le trio, d’autant plus que plusieurs droitiers comme Nick Suzuki et Jake Evans occupent déjà des postes importants.

Une offre hostile du Canadien pour Mason McTavish?

La liste des agents libres intéressants a cependant fondu ces derniers jours. John Tavares a renouvelé son contrat avec Toronto, tandis que Sam Bennett a signé un long bail avec la Floride. Claude Giroux, autre cible potentielle, est resté fidèle à son équipe. Cette situation pousse le Canadien à envisager des offres hostiles, une démarche qui consiste à tenter de débaucher un joueur sous contrat restrictif d’une autre équipe, moyennant une compensation importante.

Parmi les candidats accessibles, proposés par le Journal de Montréal, Mikael Granlund, Christian Dvorak et Pius Suter offrent de l’expérience et une production offensive respectable, tandis que Jack Roslovic et Tanner Jeannot apportent de la polyvalence et du physique. Du côté des offres hostiles, Mason McTavish et Dmitri Voronkov représentent des options jeunes et prometteuses, bien que coûteuses.

Kent Hughes devra jongler avec un plafond salarial serré, n’ayant plus que 94 000 $ de disponible selon CapWages, incluant le salaire de Carey Price. La course pour renforcer le centre est donc à la fois stratégique et délicate, mais elle reste une priorité absolue pour espérer un meilleur avenir.

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