Cette acquisition a suscité des spéculations sur l'avenir de Savard, dont le contrat arrive à terme en 2025.
Si aucune prolongation n'est signée, son départ pourrait survenir plus tôt, peut-être dès la date limite des transactions.
La gestion de ce dossier divise. Certains veulent conserver Savard pour son expérience et son leadership, tandis que d'autres envisagent un échange stratégique.
La question est de savoir à quel prix Savard pourrait quitter Montréal.
Un choix de première ronde? Une offre inférieure pourrait-elle suffire?
Johnston croit que les Maple Leafs pourraient s'intéresser à lui, tandis que LeBrun penche pour les Oilers, une équipe en quête de renforts défensifs.
Ces deux formations, aspirantes aux grands honneurs, pourraient considérer Savard comme une pièce maîtresse pour les séries éliminatoires.
LeBrun estime que Savard ne coûtera pas une fortune, une perspective intéressante pour des clubs limités en ressources.
D'après l'informateur, les Oilers seraient intéressants, parce qu'ils n'ont pas de choix de premier tour disponible.
Donc, on peut en conclure qu'il ne vaut même pas un choix de première ronde.
Il a également affirmé que Savard en était probablement à sa dernière année avec le CH.
Toutefois, le CH devra agir prudemment pour éviter de compromettre sa profondeur défensive.
Un échange pourrait permettre d'amorcer une transition vers l'avenir sans pour autant affaiblir l'équipe à court terme.
Par contre, avec Carrier en réserve, le Canadien semble bien positionné pour gérer cette transition.
Savard pourrait donc quitter Montréal d'ici mars, marquant un tournant pour la ligne bleue et une opportunité pour le CH de renforcer son futur.