Ça n'a absolument rien à voir avec John Tortorella, mentionne Cutter Gauthier à propos de la polémique autour de l'échange

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William Boivin
11 janvier 2024 (14h02)

Cutter Gauthier a récemment fait beaucoup parler de lui.

D'un côté, de manière positive, grâce à sa performance impressionnante au Championnat mondial de hockey junior. Avec l'équipe des États-Unis, il a brillé en terminant le tournoi avec 12 points et en remportant la médaille d'or.

D'un autre côté, de manière négative, en raison des récents développements concernant son échange entre les Flyers et les Ducks.

Il a été rapporté que Gauthier n'avait pas l'intention de jouer pour les Flyers, malgré avoir été leur premier choix (5e au total) lors du repêchage de 2022.

Cette situation a suscité de nombreuses spéculations et commentaires. Jusqu'à présent, l'entourage de Gauthier est resté plutôt silencieux sur le sujet.

Cependant, le nouvel espoir des Ducks a finalement décidé de s'exprimer publiquement sur cet échange pour la première fois.

« À propos de toutes ces rumeurs disant que j'avais peur de John Tortorella, ce n'est pas le cas du tout. J'ai eu plusieurs entraîneurs durs dans ma carrière et je crois que n'importe quel coach aimerait m'avoir dans son équipe. Je veux faire tout ce qu'il faut pour gagner et si je dois me faire crier après, je vais le prendre. Je ne manquerai jamais non plus de respect envers mon entraîneur et je donnerai toujours mon 100% sur la patinoire à chacune de mes présences et Tortorella n'a rien à voir avec ma décision."

"Ce n'était pas une seule raison spécifique pourquoi j'ai demandé à être échangé. Il y en avait plusieurs. De nombreuses situations récurrentes que j'ai vu au cours des deux dernières années durant mon séjour dans l'organisation des Flyers m'ont convaincu que je ne pouvais pas rester là et faire ce qu'il y avait de mieux pour ma carrière. » - Cutter Gauthier

Le jeune attaquant s'est exprimé ouvertement, soulignant que sa décision n'était en aucun cas liée au vétéran entraîneur John Tortorella.

Désormais, la question se pose : qui devons-nous croire?

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